La clarinette dans la musique classique
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 La Facture belge et Adolphe Sax

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MessageSujet: La Facture belge et Adolphe Sax   La Facture belge et Adolphe Sax Icon_minitimeDim 22 Avr - 14:22

La Facture belge et Adolphe Sax

SOMMAIRE

1. La facture instrumentale en Belgique
2. Adolphe SAX et la clarinette
3. Note sur la Maison Mahillon
4. Le XXème siècle et la clarinette

1. La facture instrumentale en Belgique


Introduction.

Dès le XVème siècle, les fabricants d'intruments fourmillent dans nos provinces, mais ils se rattachent simplement suivant la matière et les outils, à des branches parallèles, les fabricants de flûtes allant avec les tourneurs de bâtons de chaises, ceux d'instruments de cuivre avec les chaudronniers,...
Les identifications individuelles ne sont pas toujours faciles à cause des orthographes fantaisistes, des métaplasmes des noms propres et de la perpétuation d'une firme entre les descendants d'un même nom.

Moyen-Age - XVIème et XVIIème siècles.

L'industrie des instruments à souffle est très importante. Pas de rensignements sur les noms de facteurs, pas de signatures, parfois un signe distinctif dont l'identification est douteuse.

XVIIIème siècle.

Les facteurs prennent l'habitude de signer même les les différentes pièces des instruments en bois, de manière qu'avec les réparations successives, les instruments portent souvent plusieurs marques.
D'après une note de M.J.GREGOIRE, d'Anvers, il y avait en 1765, six "tourneurs d'instruments à Bruxelles".

XIXème siècle.

Le nombre de facteurs d'instruments ne cesse d'augmenter.

* Bruxelles : ils passent à quatorze, dont Charles-Joseph Sax (1791-1865), facteur du Roi Guillaume Ier à Bruxelles et son fils, Adolphe SAX.
* Anvers : il n'y en a qu'un seul.
* Gand : ils se retrouvent à huit.
* Grammont : Un seul.
* Lierre : ils sont quatre.
* Maline : ils sont deux.
* Mons : ils sont deux.
* Tournai : il n'y en a qu'un seul.
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MessageSujet: Re: La Facture belge et Adolphe Sax   La Facture belge et Adolphe Sax Icon_minitimeDim 22 Avr - 14:23

2. Adolphe SAX et la clarinette

Il ne serait pas possible de parler de la clarinette en Belgique tout en passant sous silence le rôle du plus brillant et du plus génial des facteurs belges non seulement du XIXème siècle, mais aussi de toute notre histoire : Adolphe SAX.
De nombreux ouvrages retracent sa carrière et sa vie, qui cependant n'ont pas trouvé de biographie à sa mesure, aussi cet article se bornera à rappeler l'essentiel de l'oeuvre de Sax qui concerne la clarinette, c'est-à-dire une toute petite partie d'un ensemble.
Rappelons qu'Adolphe Sax (qui se prénommait en réalité Antoine-Joseph), né à Dinant (Belgique) en 1814, est l'aîné des onze enfants de Charles-Joseph Sax, ébéniste, facteur d'instruments autodidacte.
Charles-Joseph avait fondé une manufacture d'instruments à Bruxelles en 1815. Il fabriquait entre autres instruments des bois et exerçait sur leur conception son esprit curieux. Il étudia ainsi "les proportions des tuyaux des instruments au point de vue de l'amélioration du timbre et de l'augmentation du volume sonore"(sic Ernest CLOSSON). Son esprit inventif - il prit de nombreux brevets - devait influer de façon déterminante la vocation et la tournure d'esprit d'Adolphe, dont il devint plus tard un précieux collaborateur.
Adolphe est familiarisé dès son plus jeune avec la musique et l'atelier paternel."Déjà habile ouvrier à l'âge où d'autres commencent l'apprentissage, il savait à douze ans, tourner les pièces d'une clarinette, monter les clefs, les fondre, les polir et les ajuster" (sic Fétis, Biographie universelle des musiciens). Son père, qui a décelé les dons d'Adolphe et la nécessité d'une double éducation technique et musicale, lui fait suivre des cours de musique vocale et des cours de flûte au Conservatoire de Bruxelles. Alors qu'il n'a que seize ans, en 1830, Adolphe présente, à l'Exposition de l'Industrie à Bruxelles, des flûtes et des clarinettes en ivoire (sic Albert REMY, La vie tourmentée d'Adolphe Sax). Il comprend la nécessité de devenir lui-même clarinettiste pour perfectionner l'instrument et s'inscrit au cours de clarinette du Conservatoire de bruxelles donné par Bender, qui fut le premier chef de la Musique des Guides.
Sax est un élève doué et ses progrès sont remarquables et remarqués aussi par le compositeur allemand Kuffner qui l'entend lors de son passage en Belgique et, en témoignage d'admiration, dédie "une oeuvre de duos pour deux clarinettes".
A l'Exposition de l'Industrie belge en 1835, Sax expose une clarinette à vingt-quatre clefs, de son invention, qui lui vaut une mention honorable. Elle était "entièrement fabriquée des mains du jeune facteur" (sic O.COMETTANT, Histoire d'un inventeur au XIXème siècle, Adolphe Sax).
Voici comment une trentaine d'années plus tard, un spécialiste juge cet instrument et les développements qu'il suscitera :
Citation :
"Défectueuse au point de vue de la sonorité, cette invention avait pour objet la justesse obsolue des intonations, laquelle ne peut être obtenue, sans nuire à la beauté du son, que par une modification de la perce. Quelques années de méditation conduisirent Adolphe Sax à la conviction que le problème à résoudre était là [...]. La clarinette avait deux défauts essentiels [...] à savoir l'inégalité de timbre de quelques-unes de ses notes, et l'imperfection de la justesse.
Par le mode de vibration qu'imprime à la colonne d'air la conformation de son bec et de son anche, la clarinette n'octavie pas, comme les autres instruments à vent, mais quintoie à la double octave. De là vient que la qualité bonne ou mauvaise des sons graves se reproduit exactement à la double quinte. Par une nouvelle construction du tube, Adolphe Sax rendit la sonorité plus homogène dans toute l'étendue de l'instrument. La clarinette ordinaire descend ao mi bécarre; il en résulte que le si bémol du medium, n'ayant pas de son fondamental à la double quinte grave, est une des plus mauvaises notes de l'instrument; l'artiste fit disparaître ce défaut, en faisant descendre la clarinette au mi bémol grave : la nouvelle clé, qu'il a placée vers le pavillon, restant ouverte, le doigté n'est pas changé.
Le si bécarre et le fa dièze à sa double quinte n'obligent plus, dans la nouvelle clarinette de Sax, comme dans l'ancienne, à ouvrir les clefs, et des passages rapides sur ces notes, autrefois impossibles parce qu'on était obligé de se servir du même doigt pour plusieurs notes, étaient devenus faciles sur le nouvel instrument. Beaucoup d'autres améliorations, trop longues à détailler, étaient les résultats de la réforme de la clarinette qu'Adolphe Sax termina dans l'année 1840. Postérieurement, elle a servi de modèle aux autres facteurs d'instruments".

Entre 1835 et 1837, Sax obtient un brevet pour construire une clarinette basse. Jusqu'alors, les instruments de ce type créés par Streiwolf de Goettingue, Buffet de Paris, Bachmann de Bruxelles et d'autres étaient fort peu satisfaisants.
Sax met au point un instrument vraiment nouveau notamment par l'emploi de clefs permettant de situer les trous à l'endroit exact du point de vue acoustique sans tenir compte de l'écartement des doigts et par le percement d'un trou supplémentaire "grand comme une t^te d'épingle" près de l'embouchure. Grâce à cette astuce, l'instrument devient tout à fait mélodieux dans les notes hautes et restera longtemps sans rival. Lors d'un voyage à bruxelles en 1839, Habeneck entend cet instrument et conquis, exige à son retour à Paris, qu'il prenne place dans l'Orchestre de l'Opéra qu'il dirige.
Le talent suscite l'envie et ne se pardonne pas facilement, que dire alors du génie et du succès. Sax éprouvera plus que tout autre cette cruelle vérité tout au long de son existence, mais l'invention de la nouvelle clarinette basse est prémonitoire à cet égard. C'est pourquoi il nous a paru intéressant de relater l'anecdote suivante, édifiante à bien des points de vue, qu'il s'agisse de rivalité artistique ou commerciale.

Comme Sax est membre de plusieurs sociétés de musique, La Société Philharmonique et La Grande Harmonie Royale, il propose à une répétition de cette dernière de présenter sa clarinette basse aux jugements de ses collègues de l'orchestre. Mais cette démonstration provoque la colère de Bachmann, prmeière clarinette et lui-même facteur de clarinettes. "Je cesserai de jouer si l'on donne dans cet orchestre, jusqu'ici respectable, une place à de chétifs élèves tels que M. Sax. Je jouerai seul de l'ancienne clarinette, ou je cède ma place toute entière à M. Sax et à son instrument nouveau". On décida de recourir à l'arbitrage du public, chacun acceptant le défi.
Le concert attira la grande foule, quatre mille personnes selon certains, Sax triomphe facilement malgré l'estime du public pour Bachmann. Sax joua depuis lors les solos de clarinette basse à La Grande Harmonie Royale et à La Société Philharmonique, témoignant d'une extrême virtuosité, car après son départ pour Paris, on ne lui trouva aucun successeur tant ils présentaient de difficultés.

Sax invente aussi un réflecteur du son, "à l'aide duquel aucune note des instruments à vent n'était perdue pour l'auditoire", et une clarinette contrebasse. Voici l'avis de Fétis à propos de cette dernière :

"La sonorité de cet instrument, puissante, égale et douce à la fois, complète, de la manière la plus heureuse, la famille des clarinettes et ouvre aux compositeurs, des moyens d'effets nouveaux".

Si on fait le bilan de l'oeuvre de Sax en faveur de la clarinette, on ne peut qu'être saisi d'admiration pour son apport. Il a réussi une véritable "réforme acoustique" de l'instrument et il en a complété la famille. L'expérience acquise en ce domaine par ce génial inventeur allait lui servir de tremplin pour d'autres conquêtes...
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MessageSujet: Re: La Facture belge et Adolphe Sax   La Facture belge et Adolphe Sax Icon_minitimeDim 22 Avr - 14:23

3. Note sur la Maison Mahillon

La "Manufacture générale d'instruments de musique Mahillon et C°" a été fondée en 1836 par Charles-Borromée Mahillon (1813-1887).
Fils d'un drapier d'origine gaumaise, orphelin des combats de 1830, il avait appris son métier en Angleterre.
Son épouse née Persy (sans doute de la famille des facteurs), lui donna quatorze enfants dont l'aîné, Victor-Charles (1841-1924) lui succéda, en association avec son frère Joseph (1848-1923) à la tête de la manufacture. Celle-ci se prévalait en 1907 d'être "Fournisseurs de l'Armée, des Conservatoires et de la Cour de S.M. l'Empereur de Russie ".
Les ateliers se trouvaient 21, chaussée d'Anvers à Molenbeek-Saint-Jean (aujourd'hui Bruxelles-ville). La succursale anglaise (182, Wardour Street, Londres W.) était placée sous la direction d'un autre frère, Fernand C. (1855-1948). Cette succursale avait notamment comme clients des régiments de l'armée des Indes.
Maillon et C° étaient spécialisés dans les instruments à vent. Ils fabriquaient aussi des pianos droits (que l'on voyait encore entre les deux guerres, dans les cafés des quartiers populaires).
Ils éditèrent plusieurs monographies sur les instruments à vent écrites par Victor-Charles, devenu en 1877, avec l'appui de Léopold II, le premier conservateur du Musée instrumental du Conservatoire de Bruxelles. Les autres oeuvres de Victor-Charles (dont le catalogue du Musée) ont été publiées à Gand.
Dans "Socialistische Standpunten" (1976/2), Mr.Henri Fayat, évoquant la figure de son père, chef de musique et compositeur, a rappelé que ce dernier avait été garçon de courses à la Manufacture de 1899 à 1904 et y avait senti naître sa vocation.
La dernière petite-fille de Victor-Charles est décédée en 1971. Joseph n'avait laissé qu'un fils, mort sans postérité. Fernand C. n'a pas eu d'enfant.
La Maison Mahillon qui avait décliné après la première guerre mondiale, fut cédée ) Mr Smits en 1936 par les filles de Fernand-Charles (qui signait Fernand-Victor). Ce dernier (1866-1922), fils aîné de Victor-Charles, nommé en 1909 conservateur-adjoint du Musée instrumental, en a publié un "Catalogue abrégé". Son frère Albert, décédé sans postérité, semble n'avoir eu aucune activité dans le domaine de la musique.
Un quatrième fils de Charles-Borromée, Adolphe, fut marchand et éditeur de musique (Rue Neuve).
Les autres frères excercèrent des professions diverses. Léon, d'abord officier du génie, devint directeur général de la Caisse Générale d'Epargne et de Retraite. C'est toutefois au titre de conseiller communal de Scharbeek que son nom a été donné à une avenue. L'un de ses petits-fils, Edouard Mahillon, dirige les ateliers de décors du Théâtre Royal de la Monnaie.
Outre Léon, seul henri (1862-1921), treizième enfant de Charles-Borromée, armurier, a laissé des descendants portant le nom de Mahillon, dont Pierre Mahillon.
Après une seconde cession, l'activité de la maison d'instruments se poursuit sous la dénomination : Steenhuyzen et Mahillon, 43, rue de Transvael à Anderlecht - Spécialité d'instrument en métal.
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MessageSujet: Re: La Facture belge et Adolphe Sax   La Facture belge et Adolphe Sax Icon_minitimeDim 22 Avr - 14:23

4. Le XXème siècle et la clarinette

Historique.

En 1900, une nouvelle fabrique d'instruments de musique de la famille des "bois" voit le jour.
Il s'agit de la firme HOFINGER (père et fils). Installée rue des Quatre Vents à Molenbeek, elle est tranférée une première fois en 1919, ru e de l'Intendant, et ensuite définitivement chaussée de Jette en 1935.
HOFINGER construisait essentiellement des flûtes, des hautbois et des clarinettes.
Si, en 1921, il n'y a que cinq ouvriers, cette maison prend alors un certain essor et, en 1928, elle compte cingt ouvriers spécialisés.
Un fait important et rare, la facture est toujours restée artisanale. En 1945, le beau-fils (qui avait appris la clarinette et le saxophone à l'école de musique locale) prit la direction. La maison garde toutefois le nom d'HOFINGER.
Malheureusement, faute de main d'oeuvre spécialisée, la Maison Hofinger cessa la fabrication des clarinettes vers 1962. Et cependant, les clarinettes Hofinger étaient bien renommées.
La maison a continué à fabriquer des flûtes et, depuis quelques années, suite à un accord pris avec la firme GRAZY de Milan, les flûtes sont fabriquées à Milan et portent la marque Grazy-Hofinger. En fait, le clétage est réalisé d'après le modèle Grazy, tandis que la perce est celle qui avait été considérablement améliorée par Hofinger sur les conseils de Robert Evrard, soliste à l'orchestre de la radio et professeur au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles jusqu'à sa mort survenue prématurément (1977).
Entre-temps, deux descendants de Eugène ALBERT fabriquaient, eux aussi, des instruments de musique à vent.
L'un était spécialisé dans la fabrication du hautbois. Il était installé dans le courant de la première aprtie du XXème siècle rue Liedekerke à Saint-Josse-Ten-Noode et s'appelait Eugène.
L'autre, Jacques, était spécialisé dans la facture de la clarinette. Avant la deuxième guerre mondiale, il était installé à Bruxelles. pendant la guerre 1940-45, il est parti à Boussey-la-Couture (France) pour revenir s'installer rue Bodeghem à Bruxelles quelques années plus tard où il décédait vers 1960.
Il avait en autre trouvé la possibilité d'ajouter une clé spéciale permettant de jouer le La soit avec le doigté habituel, soit avec la main droite. Ce qui apportait certaines facilités dans le straits du registre médium.

La Maison Gerday - Mons.

Lauréat du Conservatoire Royal de Liège dans les classes de trompette et de violoncelle, A.GERDAY s'intéresse dès 1918 à la fabrication, à la réparation et à l'accord des pianos. En 1920, nous le retrouvons premier soliste au pupitre de trompettes du régiment des Iers grenadiers.
A partir de 1925, il s'intéressera à la direction des sociétés (harmonie et symphonie). Vers 1933, il décide d'ouvrir son propre atelier de lutherie (à noter qu'il a également appris la lutherie des ciolons et celles).
Son fils qui a fait des stages dans les Maisons Pierret (France) et Thibouville à Ivry (France) pour apprendre la facture des flûtes, saxophones et clarinettes, le seconde dans la réparation des instruments de musique et dans la fabrication de la clarinette.

Source : http://users.skynet.be/LC/Clarinet/Facture/Facture.htm, avec l'aimable autorisation de Laurent Calomne
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MessageSujet: Re: La Facture belge et Adolphe Sax   La Facture belge et Adolphe Sax Icon_minitimeLun 2 Mar - 8:56

Adolphe Sax c'est bien lui qui a inventé le saxophone en 1800 et des brouette
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MessageSujet: Re: La Facture belge et Adolphe Sax   La Facture belge et Adolphe Sax Icon_minitimeLun 2 Mar - 9:15

gusty a écrit:
Adolphe Sax c'est bien lui qui a inventé le saxophone en 1800 et des brouette

Tout à fait. On peut considérer que l'acte de baptême du saxophone réside dans un article d'Hector Berlioz datant de 1842 et consacré à l'instrument Wink
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